Comment réaliser une tiny house vraiment écologique ?

Comme son nom l’indique, la tiny house est une maison de toute petite taille. Ce type de construction a le vent en poupe, et pour cause : dans son espace intérieur, tout est optimisé ! Ainsi, aucune surface n’est perdue et vous ne consommez pas plus de chauffage que nécessaire. Mobile, la tiny house vous offre un sentiment de liberté. Toutefois, pour ne pas dénaturer son aspect environnemental, certaines règles sont à respecter. Comment réaliser une tiny house vraiment écologique ? Build-Green vous délivre ses astuces.

Comment bien choisir l’emplacement pour sa tiny house ?

La tiny house vous ouvre de nouvelles perspectives. En effet, la logique habituelle pour la construction d’une maison est de d’abord trouver un terrain à bâtir, puis d’y placer son habitation de manière définitive. Ainsi, si pour une raison ou une autre, vous êtes obligé de déménager, vous êtes alors contraint de quitter votre logement pour en trouver un nouveau. Avec la tiny house, tout devient possible, car votre maison n’est plus liée à un terrain.

Toutefois, ce n’est pas parce que votre logement est transportable que vous devez nécessairement mener une vie de nomade. Libre à vous de décider de changer d’emplacement tous les 3 mois ou de choisir la sédentarité, même temporaire.

Sweet Tiny -Alberville - FR-73

Tiny House – Sweet Tiny – Alberville – FR-73

Les étapes préparatoires pour trouver l’emplacement de votre mini-maison

Partir à la recherche d’un terrain peut s’avérer périlleux sans un minimum de préparation. Pour y parvenir plus facilement, 2 points essentiels sont à analyser :

  1. Cibler un périmètre
    À l’aide d’une carte, définissez-vous une zone de recherche qui sera à étudier selon vos déplacements quotidiens (travail, école, commerces, etc.), dans le but de les limiter. En effet, ce type d’habitat alternatif se veut « minimaliste » et sobre en énergie. Mais, pour pouvoir déplacer une maison sur remorque dont le poids peut atteindre 3,5 tonnes, la consommation de carburant de votre voiture, nécessairement puissante, ne doit pas être négligée. Un emplacement proche des pistes cyclables, et de toutes les commodités, représente donc un vrai plus !
  2. Consulter le Plan Local d’Urbanisme (PLU)
    Vous ne pouvez pas installer votre tiny house n’importe où. Les zones autorisées sont définies dans des documents d’urbanisme (PLU, POS, cartes communales, etc.) disponibles en mairie. Ainsi, vous pouvez trouver des terrains non constructibles (zones STECAL dites « pastilles ») réservés aux habitations légères et démontables (en respect de l’article R111-51 du Code de l’urbanisme). Il vous est possible également de choisir un emplacement déjà viabilisé (zone urbaine « U ») ou proche des réseaux d’eau, d’évacuation et d’électricité (zone à urbaniser « AU »).
Tiny house - Les P'tites Penates - FR-44

Tiny house – Les P’tites Penates – FR-44

Bien sélectionner son terrain pour sa maison « hors site »

Terrain en pleine nature, privé ou à louer, ou encore terrain partagé, de nombreuses solutions s’offrent à vous !

Un terrain situé en pleine nature, pour vivre en toute quiétude

Quoi de mieux qu’un terrain vague dans un cadre idyllique pour assurer votre tranquillité ? Si cette vie peut en faire rêver plus d’un, cela suppose également que votre tiny house doit être parfaitement autonome en eau, en chauffage et en électricité. Par ailleurs, vous devez également respecter le zonage d’assainissement, c’est-à-dire disposer de votre propre système de traitement des eaux usées, si vous êtes dans l’impossibilité de vous raccorder au réseau d’assainissement collectif. Légalement, vous ne pouvez occuper les lieux que pour 3 mois au maximum, ce qui vous oblige à vous déplacer constamment.

Un terrain pour se sédentariser à plus ou moins long terme

L’achat d’un terrain privé, ou l’occupation d’une parcelle familiale sont idéals si vous souhaitez vous installer pour une durée un peu plus longue (supérieure à 3 mois). Dans ce cas, une demande préalable de travaux, voire un permis de construire, selon les règles locales et la dimension du projet, est à effectuer auprès de la mairie. Attention, les « zones naturelles et forestières » sont préservées et les zones agricoles disposent d’une réglementation spécifique qui n’est pas toujours très favorable à l’installation d’une maison mobile.

La location d’un terrain, la solution sans engagement

De plus en plus de propriétaires proposent spontanément de vous louer un bout de leur terrain. De nombreux sites internet vous permettent de vous mettre en relation avec eux (Tinyhousefrance.org, collectif-tinyhouse.fr, groupe Facebook « Je prête un bout de chez moi », etc.) Vérifiez toutefois que le propriétaire a bien toutes les autorisations pour ce type de stationnement. Par ailleurs, certains campings vous autorisent également à séjourner à l’année. Dans ce dernier cas, pensez à vérifier le montant des frais d’aménagement qui est parfois élevé.

L’habitat participatif, l’esprit collaboratif

Il s’agit d’un mode vie assez récent, fondé sur le principe du « vivre-ensemble », où plusieurs propriétaires aux valeurs communes décident d’acheter un grand terrain pour y fonder une communauté. Ainsi, chaque foyer dispose de sa propre construction, mais de nombreux espaces sont communs (jardins, potagers, espace de jeux pour les enfants, buvette, bibliothèque, etc.).

Vous pouvez également faire le choix d’un « Village de tiny house ». Dans cette formule, le terrain est déjà accessible et les premiers occupants, qui sont généralement à l’initiative du projet, sont déjà en place. Il vous suffit alors de « candidater » pour être intégré dans cet écolieu. Ce type de villages de micromaisons est encore assez rare, toutefois le « Ty village » de Saint-Brieuc en est un bel exemple.

Sweet Tiny -Alberville - FR-73

Tiny House – Sweet Tiny -Alberville – FR-73

Pas d’autoconstruction sans accompagnement !

Pour la construction de votre tiny house, vous pouvez faire le choix de l’acheter :

  1. « Clé en main », et donc déjà entièrement construite.
  2. En « prêt à décorer », c’est-à-dire avec le montage de la structure, de la couverture, du chauffage, de l’électricité, des sanitaires et du solaire, mais sans les finitions intérieures.
  3. En « hors d’air », « hors d’eau ». Les ossatures structurelles sont déjà montées, ainsi que la toiture, mais le reste est à faire (isolation, chauffage, électricité, etc.).
  4. En kit. Les plans, les matériaux et les équipements sont fournis, mais c’est à vous d’effectuer l’installation complète. Cette solution d’autoconstruction vous coûte moins cher, mais requiert quelques notions de base…

L’autoconstruction d’une tiny house est-elle facile à mettre en œuvre ?

Même si la construction d’une si petite maison semble être à la portée de tous, la réalité est tout autre ! En effet, tout le concept de la tiny house repose sur l’optimisation. Pour que votre maison soit agréable à vivre, autonome et performante, la pose doit être minutieusement réalisée. Cela signifie que vous devez être formé aux « règles de l’art » (normes) de la construction. Pour une construction confortable en toute saison, vous devez vous rapprocher le plus possible de la performance d’une habitation de type « RT 2012 » (Réglementation thermique). Certes, rien ne vous y oblige, mais ce point est important pour maintenir votre qualité de vie sur le long terme.

Attention, ceci n’est vrai que pour une tiny house de moins de 20 m² au sol, ce qui est globalement toujours le cas. Au-delà de cette surface, vous êtes soumis à l’obligation du permis de construire et donc aux mêmes règles que pour une construction traditionnelle (étude thermique, test d’étanchéité à l’air, etc.).

Comment se former au montage d’une tiny house ?

Pour réaliser le montage de votre construction mobile comme un pro, il existe 3 grandes possibilités :

  • La formation en centre d’apprentissage par des spécialistes du bâtiment. Vous pouvez apprendre à construire votre tiny house de A à Z ou choisir de ne suivre que certains modules (formation pose des ossatures, des menuiseries, du bardage, etc.) ;
  • La formation sur des chantiers participatifs. Vous installez une tiny house qui n’est pas la vôtre, mais cela vous permet d’apprendre en pratiquant sur un cas réel. Ce format est intéressant, car vous profitez de la connaissance des professionnels expérimentés dans un esprit convivial d’entraide et d’échanges. Attention, optez toujours pour un chantier participatif encadré par un professionnel assuré pour ce type de prestation ;
  • L’autoconstruction accompagnée. Un constructeur, maître d’œuvre ou architecte vous aide à réaliser votre construction en vous formant et en vous rendant régulièrement visite. Ainsi, celui-ci vous apporte ses conseils et répond à toutes vos questions. Sa présence sur votre chantier et son niveau d’intervention varient selon le type de contrat que vous avez signé avec lui. Pensez donc à bien définir les limites de son engagement.
Tiny house - Les P'tites Penates - FR-44

Tiny house – Les P’tites Penates – FR-44

Quelle taille et quel poids pour votre tiny house ?

Une tiny house doit faire moins de 2,55 m de large pour éviter une demande d’autorisation spéciale (« convoi exceptionnel ») auprès de la préfecture. Cette règle est d’ailleurs encadrée par le décret n° 97-572 du 30 mai 1997. D’autre part, comme la plupart des ponts n’excèdent pas 4,3 m de hauteur, mieux vaut prévoir une taille inférieure pour pouvoir circuler librement sur les autoroutes, sans trop de difficultés. Enfin, sur le papier vous avez « carte blanche » pour définir la longueur de votre construction, mais en réalité ce n’est pas si évident que cela ! En effet, plus votre tiny house sera longue, plus elle sera lourde et c’est justement là que tout se complique.

Selon votre situation, il existe plusieurs cas de figure :

  1. Votre tiny house fait moins de 750 kg, votre permis B suffit.
  2. Votre tiny house fait plus de 750 kg, le permis B suffit également à condition que votre voiture soit plus lourde que la remorque et que le total des charges soit inférieur à 3,5 T.
  3. Si le Poids Total Roulant Autorisé (PTRA= poids total véhicule + maison) est supérieur à 3,5 T, mais inférieur à 4,25 T, vous devez détenir un permis B96. Il vous faudra alors suivre une formation spécifique de 7 h pour obtenir cette autorisation.
  4. Si la remorque fait moins de 3,5 T, mais que l’ensemble « voiture + remorque » fait plus de 4,25 T, vous devez passer le permis remorque (permis BE).
  5. Si la remorque fait plus de 3,5 T, dans ce cas le permis exigé est celui des « poids lourds avec remorque » (permis C1E) et il est plus contraignant.

En dehors de l’aspect réglementaire, n’oubliez pas que ce poids additionnel rajoute des contraintes de maniabilité à votre véhicule. Pour que votre projet de tiny house reste pertinent et cohérent, l’esprit de « petite maison » doit être conservé.

Tiny house : le choix de l’ossature et des menuiseries

Bien que la structure d’une tiny house soit généralement en ossature bois de petite section, certains constructeurs vous proposent également une ossature métallique. L’intérêt de cette dernière reste discutable, car outre son avantage de légèreté, son impact carbone est plus élevé. D’autre part, le risque de générer des ponts thermiques (discontinuité de l’isolant) est également plus grand, l’acier étant un matériau très conducteur. Les essences de bois les plus utilisées sont l’épicéa, le sapin, le douglas ou le pin. Le contreventement est généralement assuré par la fixation de panneaux de bois sur l’ossature ou par un système d’écharpes (traverses diagonales). Ce dernier est plus complexe à mettre en œuvre, mais vous évite le recours à de l’OSB qui comporte une quantité importante de colle (et donc de formaldéhydes). Dans tous les cas, privilégiez toujours une essence de bois locale provenant d’une forêt gérée durablement.

Le choix des matériaux est donc important et souvent affaire de compromis ! En effet, les matériaux les plus légers ne sont pas toujours les plus écologiques. Par exemple, une fenêtre en bois est toujours plus lourde qu’une fenêtre en alu ou en PVC. Comme l’espace intérieur est restreint, il s’échauffe et se refroidit rapidement sous l’effet du rayonnement solaire, d’autant plus que l’inertie des murs est souvent faible. Il est donc judicieux de prévoir des fenêtres très performantes (Uw < 1.3 W/m.k). C’est ainsi que vous limiterez au maximum l’inconfort généré par la convection de l’air (courants d’air). Afin d’optimiser l’étanchéité à l’air et l’isolation thermique de votre construction, des précadres sont généralement prévus pour faciliter la pose des menuiseries extérieures et du pare-vapeur. Vous pouvez également opter pour un système “gain de place” avec des fenêtres coulissantes, très pratique pour l’ouverture.

Tiny house West Wood TIny - FR-79

Tiny house West Wood Tiny – FR-79

Quelle toiture choisir pour votre tiny house ?

Le constat est identique pour tous les matériaux de votre maison : chaque kilo compte ! Pour votre toit, le choix du 100 % écologique n’est donc pas toujours évident et le système le plus souvent privilégié est celui du bac acier. Léger et résistant, malgré son énergie grise, ce matériau présente l’avantage d’être recyclable en fin de vie.

Parmi les autres matériaux utilisés, vous pouvez également choisir une toiture :

  • En zinc, qui est à déconseiller pour la récupération de l’eau de pluie, car c’est un matériau qui a tendance à s’oxyder facilement ;
  • En aluminium, qui est encore plus léger que l’acier ;
  • En bois, les tuiles de bois constituent une vraie solution écologique. Toutefois, c’est un matériau qui demande un peu d’entretien ;
  • En tuiles photovoltaïques ou avec des panneaux solaires intégrés, très utiles pour utiliser intelligemment l’espace de toiture et rendre la tiny house autonome en électricité.

La sélection des isolants : un choix crucial !

S’il y a bien un domaine à ne pas négliger avec ce type de construction, c’est effectivement celui de l’isolation thermique. Pour limiter votre consommation énergétique et accroître votre confort, votre isolant devra présenter :

  • Des bonnes propriétés isolantes contre le froid. Comme les ossatures sont peu épaisses, le coefficient lambda (pouvoir isolant) devra être le plus faible possible ;
  • Un bon confort d’été, car le risque de surchauffe est d’autant plus grand que le volume habitable est petit ;
  • Une isolation acoustique représente un plus si vous décidez de vivre en habitat groupé ou dans un camping.
  • un matériau capable de réguler l’humidité plus présente dans ce type de surface

C’est pourquoi l’emploi de matériaux biosourcés (fibre de bois, métisse, ouate de cellulose, etc.) apparaît comme une évidence. Certes, compte-tenu de la contrainte d’épaisseur, ce ne sont pas les plus isolants pour l’hiver, car effectivement le coefficient lambda d’un polystyrène ou d’un polyuréthane est plus faible. Mais, il s’agit de la solution la plus complète avec le meilleur rapport d’isolation été/hiver/phonique et poids. De plus, ces matériaux sont plus respectueux pour l’environnement.

Un espace optimisé est de rigueur !

Avec une tiny house, vous apprenez à vous passer du superflu. Et pourtant certains modèles vous offrent réellement tout le confort moderne. Il faut dire que les fabricants regorgent d’imagination et d’ingéniosité pour optimiser l’espace, inspirés depuis longtemps par la fabrication des caravanes et camping-cars.

Une tiny house comprend souvent :

  • Un espace cuisine, avec un évier, une plaque, un four (parfois même une hotte) et éventuellement un lave-vaisselle. Pour manger, vous disposez d’une table multifonction qui se déplie pour créer un plan de travail ou d’une table escamotable qui se rabat contre un mur ;
  • Un espace salon, avec un canapé avec rangements intégrés ou une banquette qui se transforme en bureau ou en table basse ;
  • Un ou plusieurs espaces nuit, dont une chambre en mezzanine; avec des rangements intégrés dans l’escalier. Le lit peut également être escamotable avec placard intégré ;
  • Un espace salle de bain, avec une douche, des toilettes sèches et parfois un lave-linge ;
  • Un espace extérieur, avec une terrasse amovible ou repliable.

Le sentiment de « manquer d’espace » est souvent effacé par l’intégration de ces rangements très discrets.

Comment parvient-on à devenir autonome avec une tiny house ?

La construction d’une tiny house doit s’inspirer de la conception bioclimatique qui consiste notamment à optimiser la surface vitrée en plein sud pour profiter des apports solaires. Le solaire passif est l’élément indispensable d’une tiny house. Il permet ainsi d’économiser les premiers kWh, qui sont généralement les plus chers à produire.

Tiny Sun de West Wood Tiny

Tiny Sun de West Wood Tiny – FR-79

Alors, concrètement comment rendre votre tiny house la plus autonome possible ?

  1. En exploitant l’énergie du soleil pour produire de l’électricité ou de l’eau chaude sanitaire. Toutefois, l’autonomie des batteries de stockage est assez faible et le chauffe-eau solaire est généralement lourd et encombrant. Les appareils de froid étant les plus consommateurs en énergie, vous pouvez opter pour une conservation de vos aliments dans de l’argile, par exemple (système du « frigo du désert »). Vous pouvez aussi prévoir un stockage alimentaire dans un caisson isolé intégré au mur nord de votre construction.
  2. Avec un poêle de masse semi-démontable, capable de stocker une grosse quantité de chaleur grâce à la combustion du bois, et à la restituer lentement tout au long de la journée. Pensez toutefois à bien vérifier que ce système ne vous rajoute pas trop de poids par rapport à la limite autorisée (voir plus haut).
  3. Avec un biodigisteur. Cette technique utilise la fermentation des déchets alimentaires pour produire du méthane qui va servir comme combustible pour la gazinière.
  4. Avec une marmite norvégienne pour prolonger la cuisson de vos plats, sans consommer d’énergie.
  5. En récupérant l’eau de pluie et en la filtrant, bien que la faible surface de toiture limite la quantité d’eau récupérable. L’idée est plutôt de réfléchir à comment limiter votre usage. Par exemple, en installant des toilettes sèches à séparation. Ainsi, l’urine peut être utilisée comme fertilisant pour les plantes et les matières fécales sont source de méthane pour le gaz de cuisine ou pour le compost.
  6. Par la potabilisation de l’eau de pluie, grâce à un système d’osmoseur et de plusieurs systèmes de filtration (gravier, filtre à charbon actif par gravité, etc.). Attention, la consommation d’eau pluviale pour l’alimentation est interdite.
  7. En créant un potager, pour limiter vos déplacements et le stockage des denrées alimentaires.

En réalité, les exemples sont nombreux comme nous le prouvent ces deux talentueux ingénieurs de Low-Tech lab. Ainsi, découvrez « Comment se chauffer facilement », « Comment se passer de frigo », « Comment réduire par 4 votre consommation électrique », « Comment créer de l’électricité avec un vélo générateur », etc.

Crédits photos : (une) West Wood Tiny, Sweet Tiny, Les P’tites Penates

laplumeduthermicien on Facebooklaplumeduthermicien on Linkedin
laplumeduthermicien
Pour attirer des visiteurs sur votre site internet, comment procédez-vous ? Savez-vous qu'en créant un blog et en l'alimentant régulièrement, vous vous assurez un trafic régulier ? Boostez votre visibilité sur les moteurs de recherche en me laissant écrire pour vous. J'optimise tous vos contenus (SEO). Je suis un spécialiste de la performance énergétique et de l'environnement. Pour en savoir plus, rendez-vous sur https://laplumeduthermicien.fr.

La plume du thermicien

rue des Roses
25490, FESCHES LE CHATEL

0670432728 0670432728

Activités :

5,0

Spécialités : chauffage, climatisation, économie énergie, énergie solaire, énergies renouvelables, étude technique, étude thermique, façade, géothermie, isolation, permaculture, potager, qualité air, rénovation, ventilation

Site web : https://laplumeduthermicien.fr/

Envoyer un e-mail directement

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.