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  • Construire, une alternative au béton : le bois ?

Impossible de parler de maison individuelle, pertinente, confortable, durable et respectueuse de l’environnement, de notre planète en général, ou des occupants en particulier, sans aborder les maisons bois.

Il fut un temps où la brique, crue ou cuite, et/ou encore le béton, avec ses dérivés que sont les parpaings, régnèrent sans partage sur le monde de la construction individuelle. Nous avons largement développé ce thème ici dans un article dédié à l’histoire de l’habitat français. Mais les choses évoluent !

Nous avons construit cet article, dédié à la maison individuelle, en choisissant de réinscrire la Maison Bois dans l’histoire, en analysant les raisons de notre désaffection récente pour ce matériau.

Nous poserons ensuite ce que nous semblent être les contraintes et objectifs de notre époque en terme de construction. Nous analyserons comment le bois s’inscrit comme une des réponses les plus pertinentes à ces contraintes et besoins, comment nous disposons des ressources nécessaires, tant en terme de matériaux que de savoir-faire et d’entreprises compétentes.

Enfin, nous aborderons succinctement les diverses techniques de construction en bois.

D’autres publications suivront, chacune spécifiquement dédiée à une technique en particulier.

Un peu de linguistique

On entend parfois parler de construction en “dur”. On les oppose souvent aux autres, dites “légères”. La différence se fait au niveau des éléments porteurs.

Alors que sous tendent l’une et l’autre de ces appellations ?

Construction en “dur”

Désigne la construction avec des éléments durs : pierre, béton, brique (crue ou cuite), béton cellulaire et autres éléments, d’origine minérale. Ils sont assemblés soit à sec (pierre sèche, …), soit maçonnés à la terre ou au mortier (autrefois avec liant chaux, aujourd’hui plutôt au ciment Portland®), soit coulés en blocs monolithiques (autrefois le pisé, plus récemment et conventionnellement, le béton armé).

Construction légère

Désigne les maisons à base de matériaux légers, souvent du bois (toutes essences confondues). Même si le remplissage entre les porteurs en bois s’opère avec des éléments tels que pierre ou brique, ces constructions seront qualifiées de “légères”.

Parts de marché des Maisons Bois

En 2011, selon les chiffres du hors série “Guide de la construction bois 2012” du magazine Wood Surfer, sur un total de 138 846 maisons individuelles mises en chantier en 2011, 15 685 furent des Maisons Bois, soit 11,3% du total.

Selon France Bois Forêt et le CODIFAB nous aurions, en 2016, atteint les 18% (pdf).
Quand on sait qu’elles représentaient moins de 5% il y quelques décennies, on ne peut que féliciter les divers acteurs d’avoir su dynamiser leur secteur d’activité.

Pourquoi une si faible part de marché ?

Désaffection vis à vis des Maisons Bois

La maison des 3 petits cochons !

Qui ne connaît l’histoire des 3 petits cochons et de leurs maisons respectives, dont seule celle en … briques et qualifiée de … grande et solide les sauva des griffes du grand méchant loup, à contrario des maisons en paille et/ou bois des 2 autres frères petits cochons ! … Ça laisse des traces !

Et si l’histoire avait été écrite autrement ?

Nous vous proposons ici une autre version de l’histoire des 3 petits cochons. Même base, autre éclairage.

Les baraquements et habitations provisoires

La 2ème guerre mondiale avec son lot de baraquements en bois (camps de concentration et autres), son lot de bâtiments provisoires post conflit, a aussi probablement influencé plusieurs générations.

Ajoutons à cela que les bidonvilles, nombreux dans les années 1950 et construits à base de bois et tôles, ont aussi imprégné nos subconscients et nous voilà avec une population, pour le moins, sous influence.

Lobbying

Les producteurs de ciment et autres produits du même acabit, beaucoup mieux structurés et organisés en tant que filière industrielle, ont eu beau jeu de surfer sur la vague !

Au global

Pour couronner le tout, l’appellation de “dur” laissant espérer une durabilité a contrario de la “légère”, et, vous aurez compris l’évolution constatable.

Après les justifications du passé, quel avenir ?

Nous venons de le voir, l’histoire mouvementée de notre pays, les diverses évolutions des besoins et des contraintes, particulièrement celles liées à la seconde moitié du XXème siècle, aux urgences de l’époque, ont pu amener à des choix alors explicables, mais peut-on continuer sur la même voie ?

Les contraintes d’aujourd’hui

Réserves disponibles

En un siècle et demi, nous avons consommé plus de la moitié des réserves d’énergie ou matières fossiles de la planète. Ceci est vrai et connu des énergies fossiles, on parle du pic de Hubbert. Cependant, chose moins connue, ça l’est aussi pour certains métaux et même pour des matières premières simples tels que le sable de mer ou rivière.

Il nous faut désormais privilégier les ressources renouvelables.

Réchauffement climatique

Il reste encore quelques individus pour affirmer que le dérèglement climatique est une vue de l’esprit ou claironner que l’homme n’y est pour rien.

Ils ont tort et nous devons arrêter de relâcher des Gaz à effet de Serre dans l’atmosphère. Nous pensons être entrés dans une nouvelle ère, l’Anthropocène.

Confort et économie

La progression en terme de confort, de facilité d’exploitation, la nécessaire évolution vers des bâtiments nécessitant peu de travaux de maintenance nous incitent à nous orienter vers des solutions durablement efficaces.

Aller vers des techniques simples, éprouvées, rapides et reproductibles

Nous avons cru répondre à ces nécessités en optant pour le béton à outrance.

Compte tenu de l’état de notre planète, de nos connaissances et de nos maîtrises techniques, nous pensons devoir, maintenant, aller vers autre chose.

Cet autre chose, au plan de l’habitat,  consiste à construire :

  • en quantité car, augmentation de la population oblige, les besoins sont immenses,
  • sans augmenter la présence de GES,
  • durable car ce qui est construit ou va l’être devra perdurer et ne nécessiter que peu de maintenance,
  • sans puiser, ou le moins possible, dans les ressources non renouvelables,
  • en satisfaisant nos besoins sans compromettre ceux des générations futures,
  • confortable car nul ne voudrait revenir au niveau du XIXéme siècle,
  • dont les matériaux, en fin de vie, seront facilement recyclables.

Améliorer l’état de la planète

Les constats sont sans appel : canicules, sécheresses, fonte des glace, montée des eaux, acidification des océans, typhons plus nombreux et violents …

mais que pouvons-nous y faire ? Probablement peu, il aurait fallu ne pas nous mettre dans cette situation ! Mais le peu, au moins, faisons le !

L’utilisation du matériau bois : en adéquation avec notre territoire

Matériau

La forêt française est la plus grande d’Europe avec 17 millions d’hectares, soit 30% de notre territoire. Le taux de boisement est en progression chaque année.

Elle se développe et se réoriente vers de nouvelles essences.

Si, sous Colbert, il était logique de planter des futaies de chêne pour répondre aux besoins de l’époque (bois d’œuvre pour la fabrication de navires), il est normal, aujourd’hui, de réorienter la sylviculture vers des résineux pour répondre aux besoins de notre temps : bois d’œuvre toujours, mais pour construire des maisons.

La forêt et les ressources en bois

Nous récoltons depuis quelques décennies les bois plantés depuis les années 1950, particulièrement le douglas, essence à pousse rapide. D’autres essences plus indigènes telles que les sapins et épicéas, à pousse moins rapide, ont aussi été plantés en nombre et sont maintenant disponibles.

La technologie et la transformation des bois

Le développement des bois lamellés collés, des bois contre collés, des panneaux porteurs de grande dimension, les CLT Cross Laminated Timber ou bois lamellé croisé, des panneaux de contreventement, les colles, les éléments d’assemblage, les isolants bio-sourcés, de compatibilité parfaite avec le bois, ont permis à chaque entreprise, en fonction de ses aspirations et compétences, de progresser qualitativement.

Les œuvrants et le savoir faire

Les écoles du bois, Egleton, Epinal, Nantes, entre autres, épaulées par la formation d’apprentis dans les entreprises, le tissus très vivace des compagnons du devoir ont tous, chacun à leur niveau, permis de former nombre de charpentiers compétents.
En 2016, toujours selon France Bois Forêt et le CODIFAB, on dénombrait, 1981 entreprises dans ce secteur, ce qui représentait 27 420 salariés.

Les équipements

De nombreuses entreprises se sont équipées de matériels très efficaces et performants. Les logiciels de dessin et programmation ont permis une adéquation la meilleure possible entre l’exploitation des équipements de taillage, des matériaux transformés disponibles et des savoirs faire nouveaux. Les moyens de levage ne sont pas en reste avec l’apparition de grues de chantier plus souples d’emploi qu’autrefois ainsi que de grues hydrauliques sur les camions.

La législation

Les normalisations et autres Documents Techniques Unifiés ont permis de clarifier les objectifs de performance, sécurité et durabilité. C’est une juste reconnaissance des autorités d’un travail de fond accompli par les professionnels du secteur.

La Maison Bois : en adéquation avec les contraintes d’aujourd’hui

Le défi climatique

Le bois est le seul piège à carbone connu et dores et déjà opérationnel. Comme nous l’avons déjà développé ici, le carbone n’est pas notre ennemi, c’est sa source qui pose problème. Le bois, non seulement source vertueuse, piège durablement du carbone.

Origine renouvelable

Le bois est un matériau d’origine renouvelable, pas inépuisable à un instant T, mais largement disponible malgré tout.

Solidité

Les MOB sont souples au plan structurel, ce qui les rend aptes à bien résister aux tremblements de terre.
Le bois résiste très bien au tassement et à l’écrasement, ce qui le rend apte à reprendre les charges, tant de construction (poids des étages, toit …) que d’exploitation (occupants, aménagements …) et aussi naturelles (neige entre autres …).

Durabilité

Bien que nous ayons souvent entendu “Je veux construire du solide”, force est de constater que la plupart des centres villes classés, affichant fièrement plusieurs siècles d’ancienneté, sont à ossature bois.
Les insectes xylophages sont un risque avéré, mais nous savons désormais très bien en protéger les bois.

Le bois résiste également durablement aux UV.

Salubrité

Le bois est neutre en terme d’émissions de COV. Si les structures porteuses sont associées avec des matériaux de contreventement et/ou de remplissage bien sélectionnés (ils sont nombreux, connus et largement disponibles), ces maisons seront très perspirantes, gage de salubrité et confort.

Confort

Elles peuvent, intrinsèquement, manquer d’inertie mais, là aussi, l’association avec l’emploi concomitant d’un matériau qui, lui, en serait doté, permet d’y parer (dalle, mur massif, …).

Le bois, faiblement caloporteur, associé à des isolants performants et de même origine qu’eux : bio-sourcés, contribuera à un très bon déphasage.

Un savoir faire ancien

La construction bois est, pour le moins, dans les gênes des français. Nous pouvons revendiquer une longue tradition dans ce domaine.

Présenter la construction bois comme une nouveauté dans notre pays est donc faire peu de cas de l’histoire.

Un matériau recyclable

Le moment venu, notamment en cas de travaux de transformation, le matériau bois est l’un des plus facilement valorisable ou recyclable, sans impact négatif sur la planète.

Maison Bois : technique protéiforme

Une Maison Bois peut être construite selon 5 techniques fort différentes les unes des autres.

Elles présentent toutes des particularités et avantages propres.

Chacun, selon ses goûts ou contraintes locales pourra y trouver celle qui lui convient.

L’ossature Bois (MOB), la technique la plus répandue

Le principe constructif dit à “Maison à Ossature Bois”, est aussi parfois dénommé à “plateforme”, ce qui nous semblerait plus juste, eu égard aux autres techniques.

Dans ce mode constructif, les murs sont constitués de lisses horizontales, basse et haute, et de poteaux verticaux, généralement de même section (couramment : 45mm X 95 / 145 / 195 mm).

Les poteaux, selon les régions et/ou choix des constructeurs, sont tramés tous les 40 à 60 cm. La stabilité en est assurée par un voile travaillant allant de panneaux composites (contreplaqué …) jusqu’à des voliges posées à 45° par rapport aux éléments porteurs en passant par des panneaux Oriented Strand Board, les OSB.

L’ensemble, étage après étage, recevra une structure qui servira de plafond pour l’étage inférieur et de plateforme pour le niveau supérieur, d’où l’appellation à ”plateforme”.
Outre le fait que, comme pour les autres techniques de Maison Bois, le gain de temps est considérable par rapport aux méthodes maçonnées, outre la possibilité de préfabrication en usine, gage de qualité et rapidité ainsi que d’adaptation aux contraintes climatiques, cette technique implique une faible consommation de matériaux et présente l’avantage de pouvoir, d’emblée, recevoir tout type d’isolant et disposer d’une structure pouvant recevoir le parement final. Le voile travaillant peut assurer l’étanchéité à l’air, mais, le plus souvent, ce rôle est confié à des membranes.

Cette technique est la plus usitée en France. Selon France Bois Forêt et le CODIFAB, en 2016, elle représentait environ 84% des constructions maison bois.

Le poteau poutre, la grande tradition

Cette technique tire son nom des éléments porteurs principaux. Ce ne sont plus, ici, les murs qui portent la plateforme supérieure, mais des poteaux répartis selon un tramage propre à assurer des portées importantes et la reprise de charge des éléments supérieurs.

Les poteaux sont supportés par des piliers béton, des éléments métalliques, des murs maçonnés ou une dalle. Ils sont souvent dressés sur une lisse basse, laquelle assure la liaison avec la partie porteuse au sol. Ces poteaux, d’un seul tenant sol/sommet, reçoivent des poutres qui, elles, porteront les plateformes des niveaux supérieurs et, enfin, la toiture.
Les remplissages entre les éléments porteurs sont souvent en bois, selon le même mode constructif que les murs de la technique plateformes, reçoivent alors un voile travaillant, l’isolation et les parements intérieurs.

Un empilage de madriers est également possible.
Le contreventement peut aussi être assuré par des contre-fiches ou des croix de Saint André.

Les bois empilés, héritage des montagnes

Madriers

L’élévation des murs est assurée par empilage de madriers calibrés et profilés pour assurer l’écoulement de l’eau et l’étanchéité à l’air entre les rangs. Cette technique nous semble mieux adaptée aux zones de montagne que de plaine. C’est d’ailleurs là qu’elle trouve ses origines.

Pour l’avoir pratiquée, nous pouvons affirmer qu’elle donne des habitats sains et confortables mais délicats au plan étanchéité à l’air car les bois demeurent “vivants” et bougent au fil des saisons et de l’hygrométrie ambiante.  Ceci rend la maîtrise de l’étanchéité à l’air plus délicate qu’avec des bois debouts. Cette étanchéité est généralement assurée par une membrane après pose d’une isolation sur supports qui, eux, devront permettre le tassement des éléments empilés.

Les bois, murs par murs, sont assemblés soit “à queue d’aronde” (ils ne dépassent pas) soit par entailles (ils se croisent et débordent).

Ces deux techniques d’assemblage limitent, quasi de facto, la disposition des murs entre eux à des angles droits.

Bois ronds et/ou fustes

Il s’agit d’empilage de rondins, simplement pelés et profilés sur leur partie inférieure, de telle sorte à assurer un écoulement de l’eau et une étanchéité au vent.

On appelle généralement construction en bois ronds celles faisant appel à des pièces calibrée, le diamètre allant de 160 et 360 mm. Les fustes font appel à des troncs entiers, non profilés et sans limite de section.
Les contraintes inhérentes aux madriers empilés sont ici exacerbées. Autant dire que ces techniques sont limitées à quelques pratiquants.

Les panneaux massifs, une technique qui monte

C’est la technique la plus récente. Elle est apparue avec le développement des panneaux contrecollés de grandes dimensions, les CLT Cross Laminated Timber ou bois lamellé croisé. Leur épaisseur va de 6 à 32 cm et leurs dimensions de 2,95m de large à 16 mètres de long. Encore plus récemment, de nouveaux panneaux sont apparus : les “lamibois » (ou LVL pour Laminated Veneer Lumber). La méthode associe le dressage de murs fabriqués par découpage de ces grands panneaux et la pose dessus, niveau après niveau, de planchers également réalisés avec ces grands panneaux. Cette méthode permet d’éviter de nombreuses pièces porteuses (poutres, pannes ou solives…).
L’isolation se fait secondairement via l’ajout d’isolant, généralement par l’extérieur. Cette méthode permet des mises rapides hors d’eau, hors d’air.

Le poids des éléments impose l’utilisation de moyens de levage puissants et, de facto, implique l’intervention de professionnels non seulement aguerris, mais aussi équipés en conséquence.

Le colombage, la force du passé

C’est une des techniques les plus anciennes. Elle fut, du moyen âge jusqu’à la fin du XIXème siècle, la plus utilisée (cf histoire de l’habitat publiée ici). On parle aussi de murs à pans de bois. Elle consiste en l’édification de murs composés de poteaux porteurs principaux, de poutres, de contre-fiches ou de croix de Saint André pour le contreventement et de potelets intermédiaires. Selon les régions, le remplissage entre les pièces de bois va de briques de terre cuites ou crue, au torchis en passant par des pierres maçonnées.

Bien que présentant de nombreux intérêts (utilisation possible de bois tords, remplissage avec des éléments de provenance locale …), du fait de la nécessité d’une main d’œuvre très qualifiée et du temps nécessaire au taillage, cette technique n’est plus beaucoup pratiquée pour la construction neuve. Par contre la rénovation de maisons anciennes présente un réel potentiel.

Le bois cordé, définitivement anecdotique ?

Il ne s’agit pas, d’une réelle méthode de construction à ossature bois car le bois n’y est pas, à proprement parlé, porteur mais un des éléments principaux. Nous la citons néanmoins à titre informatif. Elle consiste à maçonner des pièces de bois traversant le mur de part en part, censés s’auto-suffire en terme d’isolation. Attendu que les bois vont varier dimensionnellement, l’étanchéité à l’air en pâtira, cette technique ne semble pas être conforme à la RT 2012.

Conclusion

Nous venons de développer à quel point la construction d’une Maison Bois répond parfaitement aux contraintes et attentes de notre époque et de vous présenter différentes techniques de construction.

Si nous ajoutons à cela que le parement extérieur peut être d’aspect bois (bardage …) ou minéral (crépi) et que les solutions d’entretien du bois ont largement évolué, que le crépi ne nécessite pas plus d’intervention sur une Maison Bois que sur une autre …

… Si vous souhaitez construire, vous trouverez forcément une technique et un aspect de Maison Bois qui correspondront à vos attentes et vos goûts, alors, faites vous plaisir et faites aussi plaisir à la planète : construisez en bois !

Photos : Pixabay et Claude Lefrançois

Claude Lefrançois


Après 30 ans dans le bâtiment, ancien charpentier, ancien constructeur, ancien maître d’œuvre, formateur dans le bâtiment, expert en analyse des bâtis anciens avant travaux, auteur de nombreux articles et d’un livre “Maison écologique : construire ou rénover” aux Ed. Terre vivante, auteur de 2 ebooks disponibles sur mon blog, je suis désormais retraité.
Je mets mon temps disponible et ma liberté d’expression à votre service : j’observe et j’analyse, au besoin je dénonce ou émet des idées.
Bonne lecture.

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